Paris se transforme ; est-ce au moment où, s’occupant avec sollicitude des denrées de nécessité première, l’autorité compétente vient d’élever un abattoir, un marché aux bestiaux, des halles centrales, qu’il est équitable de laisser l’Entrepôt général dans des conditions d’exiguïté et de malaise qui renversent le but qu’on s’était proposé d’atteindre en le créant ? Les végétaux s’étiolent, les animaux souffrent, les collections, entassées les unes sur les autres, n’offrent plus que des sujets d’étude difficiles à démêler ; notre admirable et récente collection anthropologique est cachée plutôt qu’exposée dans des mansardes ; il y a péril en la demeure, et le temps n’est pas éloigné où il faudra prendre un parti radical si l’on veut sauver une institution et un établissement indispensables à tous les points de vue. Le Jardin des Plantes pourrait s’étendre alors, mettre les animaux dans des conditions qu’ils ne connaissent pas aujourd’hui, augmenter les plantations, faire construire des serres assez vastes pour que les végétaux ne soient pas en souffrance, étendre les parcs, agrandir les ménageries, creuser une rivière factice et établir les collections dans des milieux spacieux, aérés, où les sujets ne seraient point serrés les uns contre les autres comme des volumes dans une bibliothèque
En outre, et cela rendait la conjecture encore plus vraisemblable, le papier, grossier et jauni, était le même pour les quatre, l’odeur de tabac était la même, et, quoiqu’on eût évidemment cherché à varier le style, les mêmes fautes d’orthographe s’y reproduisaient avec une tranquillité profonde, et l’homme de lettres Genflot n’en était pas plus exempt que le capitaine espanol. Le style, je crois, en est naturel, laconique, et peut avoir quelque mérite. « La plante est indubitablement spontanée », dit l’auteur, et l’identité spécifique a été confirmée par Henslow d’abord et ensuite par Sir Joseph Hooker, dans son Flora antarctica. Si ce n’eût pas été une trouvaille, cela eût eu l’air d’une mystification. GAULTIER (Claude), avocat au parlement de Paris, né en 1590, mort à Paris en 1666, a laissé des Mémoires et des Plaidoyers, qui ont été réunis à Paris, en 1662. Il n’est plus guère connu que par ces vers de Boileau (sat
C’est une lettre pour vous, monsieur Marius. « Monsieur Pabourgeot, votre juste réputation de protecteur éclairé des gants de lettres m’enhardit à vous envoyer ma fille qui vous exposera notre situation indigante, manquant de pain et de feu dans cette saison d’hyver. Ma fille aînée vous dira que nous sommes sens un morceau de pain depuit deux jours, quatre personnes, et mon épouse malade. C’est moins malsain. Vous êtes sept, nous sommes quinze. Ce sont toujours de fort tristes cérémonies que celles auxquelles nous allons assister. Comme il ne possédait rien, il n’ôtait jamais sa clef, si ce n’est quelquefois, fort rarement, lorsqu’il travaillait à quelque travail pressé. Les cellules d’isolement étant elles-mêmes arrivées à saturation, l’un des bâtiments du CRA n°3 du Mesnil-Amelot est dédié depuis le 7 décembre 2021 à accueillir les personnes testées positives alors qu’il n’est pas prévu à cet effet. ’est-à-dire qu’il est paré sur sa surface en laissant une épaisseur de graisse d’un centimètre et demi environ
« À l’aspect de ces écrits votre âme généreuse sera mue d’un sentiment de sencible bienveillance, car les vrais philosophes éprouvent toujours de vives émotions. « Malgré ces qualités j’ai lieu truffes de Bourgogne craindre que la jalousie, l’égoïsme des auteurs privilégiiés, obtienne mon exclusion du théâtre, car je n’ignore pas les déboires dont on abreuve les nouveaux venus. Moi j’ai j’ment pleuré quand ma grand’maman est morte. Moi malade depuis ma dernière couche, abandonnée de mon mari depuis cinq mois n’aiyant aucune ressource au monde dans la plus affreuse indigance. «J’ai apris vos bontés pour moi, que vous avez payé mon terme il y a six mois. « Je me permets de vous adresser cette lettre pour vous prier de m’accorder la faveur prétieuse de vos simpaties et de vous intéresser à un homme de lettres qui vient d’envoyer un drame au théâtre-français. « P. S. – Ma fille attendra vos ordres, cher monsieur Marius
Nos gens d’état le savent bien ! Découvrez les sites de l’INA conçus pour vous, suivez-nous sur les réseaux sociaux, inscrivez-vous à nos newsletters. » J’avoue que je fus touché des marques d’intérêt et de sympathie que donnèrent tous nos domestiques intérieurs et extérieurs, en me voyant debout devant eux en bonne santé, sinon en belle tenue. Ce sont les vôtres, j’entends bien ; ça ne me regarde pas ; je voulais seulement vous prévenir qu’il se présentera ici dans la matinée un jeune homme de bonne tournure, de bonne façon, qui viendra vous demander une place de secrétaire, afin de partir demain avec monsieur l’ambassadeur. Mélanger à de l’appareil à « Pommes Duchesse », de la purée de tomate très réduite et bien rouge, dans les proportions de 5 cuillerées par 500 grammes d’appareil. Une dame du Dauphiné étant venue habiter à Lyon avec ses deux jeunes filles, s’enquit d’un magasin où elle pourrait se procurer des coupons de soierie à meilleur marché que dans un magasin de nouveautés